Je m'appelle Antoine, j'ai 15 ans, fils unique, et lors des dernières
vacances, il m'est arrivé quelque chose de très bizarre avec ma
cousine. Nos deux familles passaient 3 semaines au camping.
J'étais dans ma tente vers 23h, en train de jouer à ma PSP,quand je
vis par ombre chinoises, ma cousine, Sarah, dans sa propre tente,
en train de se déshabiller pour dormir.
Petite présentation: c'est une fille magnifique, avec des cheveux
mi-longs blonds platines, un mètre soixante-dix pour un bon 85B.
Je voyais ses petits seins en forme de citrons, ses tétons pas trop
pointant... Je m'imaginais dans ses bras, nous embrassant
doucement...
**GAME OVER**
Mon jeu me fit revenir à l'instant présent. Mais que venais-je de
faire ? De fantasmer sur le corps de ma cousine, quel gros
dégueulasse je peux être...
Mais en même temps, je ne trouvais pas cela tellement malsain,
parce que c'est ma cousine et que des relations comme ça, on en
voyait tous les jours !
Bref, sur-ce, je me couchai et m'endormis.
Le lendemain matin, on prit le petit déjeuner nos deux familles
ensemble, je fis la bise à ma cousine, nos lèvres se touchant en
coin, mais je ne pense pas qu'elle le remarqua.
Les parents dirent qu'ils iraient à la fête Seventies ce soir au
camping et nous demandèrent si nous voulions venir. Nous deux
répondîmes bien sur non, que c'était pour les vieux. Nous allons
donc passer la soirée, ma cousine et moi, seuls...
Chapitre 2 : Ambiguïté
Vers onze heures, après s'être préparés et tout, ma cousine et moi
allâmes à la plage. Installation des serviettes, ouverture de la
glacière (avec une bouteille de Vodka prise en douce chez les
parents) et changement de vêtements. Je m’apprêtais à aller me
baigner quand Sarah fit :
- Attends Toinou (oui c'est mon p'tit nom) ! Tu pourrais me mettre
de la crème dans le dos s'il te plaît ?
Moi, tout penaud devant cette invitation de ma cousine à la toucher,
bredouillai :
- Euh..gue gue... Oui bien sur !
- Ah super. Tiens le tube de crème... HOP !
Et la STUPEFACTION ! Elle enleva son haut de maillot ! Je sentis
mes oreilles rougir et mon pénis gonfler, et lui dit :
- Euh, tu pourrais remettre ton maillot s'il te plaît ? C'est HYPER
déstabilisant !
- Oh allez ! Fais pas ton timide cousin ! Mais qu'est-ce... TU
BANDES ?????
- Oui mais le hurle pas merde !!! Je te l'ai dit c'est déstabilisant !
- Mouais... On réglera ça ce soir, quand on sera tout seuls !
Et elle me fit un clin d’oeil complice...
- Bon ! fit-elle d'un air plus sérieux, cette crème c'est pour quand ?
- Euh, oui... désolé !
Je commençais à m'en mettre sur les mains puis le massage
commença...
Sa peau était douce au toucher, j'avais envie de m'en imprégner, de
l'enlacer etc...
Mais sans que je m'en rende compte, mes mains commencèrent à
glisser vers ses seins... Hop là ! Rectification du tir ! Et je finis de
lui mettre sa crème sans autres malentendus majeurs. Puis elle
tapa dans ses mains et fit :
- Allez hop ! Tous à l'eau !
Elle me prit par la main et m'entraîna vers la mer. Je lui donna une
petite tape sur les fesses, geste que je regrettai aussitôt, mais
qu'elle ne sembla pas remarquer outre mesure. Elle semblait
apprécier...
Si le massage s'était déroulé sans ambiguïtés, la baignade en était
tellement remplie que c'était limite si l'on ne couchait pas ensemble
sur-le-champ. Mains sur les fesses, qui frôlent les seins ou les
parties génitales, câlins ambigus... Mon dieu que cela me mettait la
trique... Puis un garçon s'approcha de ma cousine et lui fit :
- Hey ! Salut ! Puis-je mettre un nom sur un si joli visage ?
Et elle de rétorquer :
- Non mais tu vois pas que je suis avec mon mec la ?
Je jouais le jeu, en lui jetant un regard noir. Il s'éloigna lentement,
sans dire un mot.
Elle me dit :
- Ça te dérange pas que je t'ai fait passer pour mon mec ?
- Oh non, pas du tout, ceci ajouté d'un regard pesant.
Elle semblait reprendre ses esprits et me dit :
- Bon, on garde la bouteille de vodka pour ce soir ?
- OK, si tu veux.
- Bon, je vais te donner un avant goût de ce soir...
Elle me fit trébucher sous l'eau, je vit vaguement sa tête
s'approcher de moi...
Chapitre 3 : Action ou vérité ?
Puis nos lèvres se joignirent. Un baiser passionné, avec nos langues
qui se touchent, qui se frottent, hummm... Puis elle se retira
brusquement. Je lui demandai :
- Ben qu'est-ce qu'il y a ?
- Mais merde qu'est-ce que je viens de faire... Je suis désolée
désolée...
- Mais eh c'est pas grave !
- Mais en plus je sais même pas si ça t'a plu ! Je suis une pute...
- Mais dit pas ça ! En plus, ça m'a pas déplu à vrai dire...
- C'est...C'est vrai ?
- Mais oui... Allez viens là !
Je la serrai dans mes bras, lui touchant la poitrine, puis glissai sous
son maillot...
- Non, me dit elle. Non s'il te plaît arrête !
- D'..D'accord désolé.
Nous reprîmes nos serviettes et retournèrent aux tentes.
Le soir venu, nous étions donc seuls et Sarah vint me rejoindre
sous ma tente. Elle avança timidement, et me demanda :
- Au fait Toinou... Ce que tu m'as dit tout à l'heure... C'est vrai que
t'as aimé ça ?
- Ben en fait... Ouais... Ouais c'était pas mal !
- Tiens, j'ai amené la bouteille de vodka !
- Ah merci... Mais et les verres ?
Elle me lança un clin d’oeil
- Tu crois que c'est nécessaire ?
Après deux ou trois gorgées chacun je lançai :
- On se fait un action ou vérité ?
- Ouais pourquoi pas ?
- Allez je commence... Vérité !
- OK... T'as déjà embrassé un garçon ?
- Ben... Une fois ouais... répondis-je, honteux
- WAOW ! Ben le cousin est pas si prude que je le croyais ! A moi...
Vérité !
- Bienbienbien... T'as déjà eu des rapports ?
- Ben, fit-elle gênée, c'est embarrassant...
- Eh ! C'est le jeu ma belle !
- Ben oui, une fois... Avec une fille...
- Oh oh oh ! Eh ben... Allez à toi !
- OK, Action !
Elle décida de conclure rapidement
- Roule moi une pelle ! fit-elle
- Tu t'est lavé les dents ?
- Bien sur j'avais prévu ça !
Elle s'approcha, me saisit par le col et m'embrassa.
J'avais l'impression de ne sentir aucune partie de mon corps ! Nos
langues se touchèrent, je pus sentir l'alcool qu'elle avait ingurgité
auparavant...
Elle s'arrêta après deux bonnes minutes et fit :
- On en garde pour le grand final !
Moi, encore extasié par ce paradis buccal, gémit :
- Hummm c'était booon...
- Allez à toi !
- Allez... Action !
- OK... Fais moi l'amour !
Chapitre 4 : Tout en douceur...
– Fais moi l'amour !
Moi, tout émoustillé par cette proposition, j'approchai mes
lèvres des siennes et ma main de ses seins, nos lèvres
s'effleurèrent...
- Les enfants on est rentrés !
OH NOOOON ! Les parents !
Je jetai un regard triste à ma cousine qui me répondit par une
simple main dans mon caleçon, et un regard qui disait "Ne
t'inquiètes pas, ça va se faire un jour ou l'autre !"
Je lui volai un large baiser et une petite baffe sur ses seins,
puis elle sortit de ma tente pour rejoindre la sienne.
Le lendemain matin, ma cousine rentra dans ma tente et me
réveilla par une main qui me caresse le ventre et une voix qui
me sussure :
- Toinou ? T'es réveillé ?
Moi bien sur, encore dans les vapes, je répondis par une sorte
de mot-gémissement qui ressemblait vaguement à un "Qu'estce
que c'est ?"
- C'est moi ne t'inquiètes pas.
Et, malgré mon haleine de poney, elle m'embrassa
fougueusement et passionnément,t en même temps. Je lui
rendis son baiser bien volontiers puis elle me prit dans ses
bras et me fit :
- On y étaient presque hier soir hein ?
- Uh uh ! Je suis encore trop dégoutté !
Elle sembla amusée et me fit :
- Eh mais c'est pas grave ! On va trouver une occasion hein ?
Puis elle me pris la mais et me fit caresser sa petite chatte à
travers sa culotte toute humide. Je reproduis ce mouvement,
mais je passai à travers la culotte de ma cousine. J'étais sur le
point de la toucher...
- Les enfants, on va faire un footing vous voulez venir ?
Moi du tac au tac, je répondis :
- Oh non merci j'suis encore fatigué !
- Ouais moi aussi, fit ma cousine.
- Bon d'accord, nous dit ma tante. Et au fait les jeunes, elle
était bonne la vodka ?
- Ouais très bonn... Mais comment tu sais ? lui demandais-je
- Boaf, répondit-elle, quand on oublie de la ranger...
Ah oui c'est vrai ! On l'avait domplètement zappée après
quelques gorgées. Puis ma tante nous dit :
- Bon je vous couvre cette fois-ci mais ce sera pas deux hein ?
Nous parûmes soulagés, puis ma tante nous dit :
- Bon on rentre dans une heure, une heure et demi, OK ?
- Oui, et encore merci tata !
- Ouais maman, t'as été sympa sur ce coup la !
Puis elle partit rejoindre les adultes qui trottinaient déjà sur
place, et qui partirent une fois ma tante rentrée dans le rang.
Ma cousine me regarda d'un ais complice et me fit :
- Eh ben finalement on va pas être obligés d'attendre la plage
pour faire nos cochonneries, hein cousin ?
Accompagnant le geste à la parole, elle roula sur elle même,
m'entraînant dans sa chute et me fit atterrir couché sur elle,
toutes mes parties du corps chaudes comme la braise.
Chapitre 5 : Passage à l'acte (Eh ben, enfin !)
J'approchai doucement mon visage du sien, puis nos lèvres se
joignirent. Un baiser d'amoureux, d'amants. Intense, passionné,
doux à la fois...
Je passai ma main dans sa culotte, puis entrai en contact avec son
minou tout rasé, je faisait des va-et-vient avec ma main. J'avais
déjà lu des histoires porno et connaissait l'existence du point G. Je
lui titillai le clitoris avant d'entrer délicatement mon doigt à
l'intérieur de ses lèvres. Je sentis une petite résistance avant
d'entrer, puis forçai un peu et son hymen céda. J'étais désormais
mon doigt dans les entrailles de ma cousine.
Elle poussait de profonds gémissements et des petits cris. Je ne
savais pas si c'était de la douleur ou du plaisir mais je continuai. Au
bout d'un moment je lui demandai :
- On va plus loin ?
- Hmmm, ouiii...
Je lui enlevai donc violemment sa culotte, puis son tee-shirt. Je
voyais pour la première fois ma cousine nue. Enfin, pour de vrai
quoi, la première fois ça comptait pas.
J'enlevai un à un mes vêtements, pour finir comme elle en tenue
d'Adam. J'hésitais à la pénétrer, je me demandais " Et si ça ne lui
plaisait pas ? Et si... Oh et puis merde !".
J'approchai mon pénis qui était, vous le devinerez, gonflé à
l'hélium. Je l'approchai donc de sa chatte, je frottai délicatement
mon gland de haut en bas, comme avec mon doigt précédemment.
Elle me dit :
- Vas-y, mets la ! Fais toi plaisir !
J'y allai doucement, de peur de me faire mal, et à elle aussi, tout
en sachant que sa chatte était lubrifiée par sa mouille, j'y
introduisit mon gland, puis le corps de mon pénis, puis... Ça y'est,
j'ai introduit mon pénis entier ! Je n'imaginais pas pouvoir jouir
autant, je ne sentais plus aucune partie de mon corps, je ne
contrôlais plus rien !
Puis je me mit à faire des va-et-vient, mais horizontaux cette fois
ci. Je la labourais littéralement, j'étais à la limite de l'orgasme. Je
me devais de la prévenir :
- Attention je vais jouir !
- Mais jouis jouis ! Mets moi enceinte !
Je compris bien entendu que c'était une métaphore, et j'obéis.
Je venais de féconder ma cousine. Peut être même de la mettre
enceinte !
Mais elle ne sembla pas s'en soucier et me fit :
- Je peux te faire une fellation s'il te plaît ?
- Ah non ! objectais-je. Ça me répugne au plus haut point !
- D'accord, alors... Par les fes...
c'est à ce moment là qu'on entendit nos parents faire :
- Eh ben on a bien couru dites donc ! Val, combien on à fait ?
Panique dans la tente. Branle bas de combat, on se rhabille en
urgence, puis je vois quelqu'un s'approcher de notre tente.
On accélère la cadence quand la fermeture éclair de l'entrée
commence à s'ouvrir...
Chapitre 6 : Le sauvetage
La fermeture éclair de la tente commençai à s'ouvrir, quand une
idée-éclair me traversa l'esprit.
Je fis signe à ma cousine "CHUT !", elle me répondit d'un
hochement de tête et je fis :
- N'entrez pas, je me change !
- Ah, désolé Antoine ! Et où est ta cousine ?
- Je crois qu'elle est allée... à la plage !
- Ah d'accord, merci !
Nous poussâmes un soupir de soulagement, puis finement de nous
rhabiller, tranquillement cette fois.
Puis les parents allaient déjeuner, ma cousine put enfin sortir d'ici,
mais non sans un dernier baiser, puis une vague d’excitation nous
obligea à faire l'amour habillés, elle trouvait cela tout aussi
excitant.
La fin des vacances approchant dangereusement, ma cousine et
moi décidâment d'aller à la plage. Vu que personne ne pouvait nous
identifier en tant que cousin/cousine, on pouvait vivre notre amour
sans limites.
Ma cousine commença à s'installer, puis je décidai d'aller nager un
peu. Quand je fus arrivé à la moitié du chemin des bouées, je jetai
un regard vers ma cousine, et la qui vis-je ? Le mec de l'autre
jour ! Celui qui avait chauffé ma cousine !
Je regardai plus précisément, il était en train de lui enlever son
haut de maillot !
Chapitre 7 : Catch
Je le vit qui essayait de lui enlever son haut de maillot, et elle de se
débattre. Mon sang ne fit qu'un tour. Je me précipitai vers le
salopard en question et, étant un féru de catch, je me suis dit que
je pouvait enfin mettre la théorie en pratique !
Je posai le pied sur le sable, à dix mètres de notre serviette, mais à
partir de maintenant, il vaudrait mieux vous décrire l'action au
ralenti.
L'enfoiré était en vue, et parfaitement à portée. Je prit ma dernière
impulsion du pied droit, m'élança. Au dernier moment il tourna la
tête vers moi, ce qui était parfait. Je lui saisit la tête, m'élança
comme pour m'allonger vers le sol avec plus d'élan horizontal que
prévu, tout en entraînant la tête du violeur de ma cousine au sol
et... VLAN ! Impact effectué ! Je suis tombé par terre en position
allongée en éclatant littéralement la tête de l'agresseur sur mon
épaule.
Un silence pesant tomba soudainement vers la plage, puis quelques
murmures. Je pus distinguer les mots "héros" et "courage" dans
certaines discutions.
Je dit à ma cousine :
- Allez viens, on s'en va !
Elle, encore sanglotant, rattacha son haut de maillot, puis remballa
les affaires.
Une fois rentrés au camping, elle rentra dans ma tente, puis me
dit :
- Tu m'as...sauvée ?
- Oh, rien de bien mirobolant, fis-je, modestement.
Elle se remit à pleurer en disant :
- Oh si tu n'avais pas été la Toinou...
Avant de tomber dans mes bras. J'en profitai pour lui toucher les
seins à loisir, et même à un moment pour l'embrasser. Me revoilà
retourné au début des relations avec ma cousine, enfin presque.
Je la serrai plus fort dans mes bras, lui caressant les fesses au
passage. En maillot de bain, imaginez !
Puis nous allâmes déjeuner. Nous retrouvions nos parents avec des
amis, après nous être changés bien entendu. Les oncles-tantesparents
nous firent signe de venir à leur table. Ils nous
présentèrent :
- Bon voilà Antoine, mon fils à moi et à Valérie et Sarah notre
nièce, la fille de Jean et de Dominique.
- Et nous sommes les Benoît, de vieux amis à vos parents, firent les
invités.
Et s'ensuivit un long récit, chaque parole plus assommante que la
précédente, quand Sarah fit :
- Bon Antoine, on y va ?
- Oui, je te suis ! dis-je, soulagé d’échapper aux moulins à paroles.
Une fois retournée aux tentes, Sarah me fit :
- Bon on refait nos... Cochonneries ?
- Hum, ouais ! m'exclamais-je.
Oh yeah, c'est reparti pour un tour !
Chapitre 8 : Chaleur
Nous commencions à nous déshabiller, quand Sarah me dit :
- Eh ben aujourd'hui mon ptit chéri, on va passer à des choses un
peu plus... chaudes !
Plus chaudes que ce qu'on a fait l'autre jour ?! C'est possible ? Enfin
bref, je lui fit :
- Tout ce que tu voudras, ma belle.
- Bien, alors on va commencer par un échange de salives...
- Oh, c'est plus qu’excitant !
Elle commença à réunir un maximum de salive, je fis pareil de mon
côté, puis nous fusionnâmes...
Humm, ça c'est un baiser mouillé ! Nos langues se touchaient, nos
salives se mélangeaient... J'aimais vraiment cela !
On bavait partout, de la bave dégoulinait sur nos mentons, dans le
décolleté de ma cousine...
Puis elle s'enleva et me dit :
- Bien, maintenant tu voudrais pas me faire un cunnilingus ?
Je ne me fis pas prier. Je lui baissai sa culotte, commençai par lui
caresser tendrement la chatte, puis lui avala à pleine bouche son
minou tout rasé. Je la pénétrais quasiment avec ma langue, lui
mordillait le clitoris, lui lavait le sexe à grands coups de langue...
Pendant ce temps là, elle se masturbait les seins en gémissant de
plaisir. Je décidait de m'occuper de ses seins tout en m'occupant de
sa chatte. Je lui suçait un téton, en massant l'autre.
Puis je décidait de prendre les choses en main et enleva mon
caleçon.
Je commençait à bander sérieusement et je lui caressait la moule
avec ma verge prête à exploser, puis je sentis que j'allais spermer.
Je m'empressai de rentrer au plus profond de ses entrailles avant
de lâcher ma semence. Elle ne put retenir un petit cri, que je
m'empressais d'étouffer avec ma langue.
Nous voilà repartis pour une partie de suçage de langues !
Chapitre 9 : Hésitations
Nous étions là, à nous embrasser comme des amants. Nos langues
se frottaient, se titillaient, nos glandes salivaires fonctionnaient
tous azimuts.
Je m'extirpai difficilement de ses lèvres et regardai ma belle.
Elle ne m’apparaissait plus comme une cousine maintenant, mais
comme une petite amie, avec qui j’aurai des liens de sang très
forts. Une fille comme les autres, qui m'aurait plût, que j’aurai
séduite et qui serait tombée amoureuse de moi. Je réfléchis un
instant et me demandai : "Et si les parents s'en rendaient compte ?
Et si ils étaient déjà au courant ? Notre relation est plus que
malsaine, je le sais bien, mais c'est la fille que j'aime, et avec qui je
voudrais vivre, peut être même avoir des enfants plus tard."
Sur ces dernières pensées, je m'attaquai de nouveau à son vagin.
Je commençai par lui lubrifier la fente puis, une fois sa chatte
luisante de ma salive, je me mit à la pénétrer, cette fois avec mon
doigt. Je rentrai difficilement car elle contractait tous ces muscles
(je compris que c'était pour se procurer plus de plaisir). Puis elle se
détendit, et je compris qu'elle était près de l'orgasme.
Mes va-et-vient se firent alors plus rapides, plus violents. Je crût
que j'allais allumer un feu dans sa chatte, lorsque tout à coup, une
grosse dose de liquide sortit de son orifice. J'appris quelques
instants plus tard, qu'il s'agit de l'équivalent chez la femme de
l'éjaculation.
Après qu'elle eût repris son souffle, elle me dit, encore haletante :
- C'est la...première fois...que ça m'arrive. Je m'étais déjà
masturbée, parfois jusqu'à ce que je croyais être un orgasme mais
là...
Puis je lui proposai :
- Tu voulais des choses un peu plus chaudes ? Eh ben tu voudrais
bien que je te prenne par les fesses ?
Elle accepta d'un simple signe de tête, il ne me fallut pas davantage
pour m’exciter définitivement. Je lui enlevai d'un geste lent le reste
de sa culotte, je la retournai sur le ventre et, inutile de lubrifier car
beaucoup de sa mouille avait coulé sur son orifice anal. J'approchai
délicatement mon gland, puis commençai à la pénétrer.
Chapitre 10 : Par derrière
Je commençai par masser son trou avec mon gland, tout en
rentrant lentement dans ses entrailles. Je sentis qu'elle contractait
ses sphincters, ainsi que mon membre qui était à l'intérieur, ce qui
n'eut comme effet que de m'exciter davantage. Je faisais glisser
mon pénis, savourant chaque nano-seconde de ces moments,
gravant cette sensation de domination et de jouissance dans mon
crâne à jamais.
J'arrivais au bout de ma pénétration anale (il ne me restait qu'un
bout à rentrer) quant je sentis venir de loin une éjaculation. Je lui
rentrai violemment cette partie de pénis, ce qui lui arracha un
soupir accompagné d'un gémissement de jouissance, avant
d'envoyer ma semence au plus profond de ses entrailles.
Tout en frottant mon corps nu contre le sien, je balançais peu à peu
de la purée dans le cul de ma cousine, qui ne pipa plus mot
pendant un quart d'heure. Je sortis mon membre de ses fesses puis
regardai l'heure : 18h !! On a donc baisé pendant... longtemps !
Harassé par la fatigue, je dit à ma cousine de se rhabiller, puis nous
nous endormîmes l'un dans les bras de l'autre.
Nous nous réveillâmes vers 9h du matin (je n'arrivai pas à croire
que j'avais dormi si longtemps), puis, encore ensommeillé, je sentis
un truc humide sur mon muscle : ma chérie/cousine qui me faisait
une pipe ! Je dois être le seul homme à ne pas aimer ça, j'enlevai la
tête de ma cousine de ma bite, avant de lui rouler une pelle comme
jamais elle n'avait connu. Du moins je l’espérais... Je lui dit :
- Salut ma belle ! Bien dormi ?
- Ouais, me répondit-elle. Avec des excellents souvenirs d'hier soir
(clin d’oeil frivole).
- Bon, on va déjeuner ?
- Ouais, je crève la dalle !
Nous sortîmes de la tente et nous vîmes les parents, qui
déjeunaient déjà. Mon père nous fit une de ses blagues vaseuses
dont il a le secret :
- Encore ensemble ces deux là ? On va finir par vous marier !
Je fus soulagé d'entendre, d'après les rires qui émanaient de la
table, que cette idée était sans fondement. Je jetai un regard
amusé à ma cousine, puis nous déjeunèrent.
Chapitre 12 : Adieux
Dernière journée des vacances, c'est le jour des paquetages et du
remballage. Alors que je faisais ma valise, Sarah vint me voir. Elle
avait un air grave et je sus que quelque chose n'allait pas. Elle me
dit :
- Bon écoute Antoine, faut que je te parle.
- Ben, fis-je, étonné. Vas-y je t'écoute !
- Bon voila. J'ai réfléchi à notre relation et tout ça et je me suis dit
que... Voila, que ce qu'on a fait c'est des conneries. Des conneries
de jeune qui voulaient juste se découvrir et, j'ai décidé d'oublier ce
moment de ma vie.
- QUOI ? Mais, tu te rends compte de ce que tu dis ? On a passé
des bons moments non ?
Elle me répondit d'un air mal à l'aise :
- Oui, bien sur, mais on aurait pas dû faire ça ! On aurait du chacun
avoir sa conquête des vacances et voila, rien ne se serait passé !
J'étais anéanti. Ma cousine, mon amour des vacances, et j'espérais
de toujours, me dit de but en blanc que...
Je décidai de rétorquer :
- Mais en plus c'est toi qui a ouvert les hostilités ! Tu te souviens, à
la plage !
- Non, elle me répondit. Non Antoine n'insiste pas. De toute façons
cette année je vais dans un internat, il vaut mieux que l'on ne se
revoit plus pendant un an, histoire que l'on refasse son petit bout
de chemin tout seul de son côté.
Elle s'arrêta de parler, me fit un petit bisou sur la joue et partit.
C'en était trop pour moi, j'étais paralysé par la douleur et la
tristesse. Pendant tout ce temps, je me faisais des films, je rêvais...
Mais un noyau dur comme du béton, au fond de mon coeur me dit
"Allez debout grosse larve ! Te laisse pas abattre ! Oublie cette
histoire toi aussi et continue ta vie !" ce message me fit reprendre
contenance et je continuais, le visage plus fermé que vingt minutes
auparavant, à faire mes valises.
Une heure plus tard nous partîmes, chaque famille dans sa voiture,
dans leurs maisons respectives. C'est la fin d'un beau rêve.
Je vous raconte cette histoire de ma chambre, ceci c'est passé il y a
1 mois maintenant, mais les blessures sont toujours présentes, au
fond de mon coeur. Et elles se ravivent chaque fois que je joue à la
PSP, où je me rappelle la fois où j'avais vu le corps parfait de ma
cousine, par ombres chinoises dans sa tente.
Tout cela n'était plus qu'un souvenir.